Déclaration publique d’intérêts de Jérôme Pinguet, dirigeant de l’entreprise Médecine Libre.
tldr; Rien (0€) depuis 2012. Avant 2012, quelques centaines d’€ (nourriture, gadgets) pendant mes études médicales et mon internat.
Dirigeant de l’auto-entreprise de conseil en informatique médicale libre Médecine Libre, développeur de logiciels libres médicaux, notamment le logiciel libre et open source freehealth.io qui ne bénéficie d’aucun financement public ou privé autre que celui de certains de ses utilisateurs (médecins libéraux).
Aucune autre activité rémunérée
Aucune participation à un organisme privé ou public. Je participe au collectif informel auto-financé librehealthcare.org et j’ai été membre du collectif auto-financé Massilia Santé System. Ces collectifs n’ont pas d’instances dirigeantes.
C.f. Activité principale
Je participe à ma thèse qui n’est financée par personne.
Je ne participe pas aux conférences, colloques ou actions de formation financées par l’industrie pharmaceutique ou l’industrie des produits de santé. Les articles et les textes que je publie ne sont jamais rémunérés et sont sous licence libre Creative Commons. Avant 2012, lors de mon internat de médecine générale, j’ai été contraint et forcé de me rendre à 1 repas d’une valeur inférieure à 30€ financé par l’industrie pharmaceutique dans le cadre de la validation de mon stage chez le praticien (faculté de médecine de Marseille). Lors de mon 1er semestre d’internat (2006), en l’espace de 6 mois, j’ai organisé des repas “améliorés” à l’internat du Centre Hospitalier de Toulon où de la nourriture comestible (contrairement à la nourriture industrielle réchauffée par l’administration de l’hôpital) était mise à disposition par des représentants de l’industrie pharmaceutique. J’ai cessé définitivement ces pratiques après avoir découvert la revue Prescrire lors de mon 2ème semestre d’internat. Au cours de mes études médicales de 1997 à 2005, comme 99% des mes collègues à l’époque, j’ai accepté des babioles (règles à ECG en plastique, EVA en carton, livres de poche) et de la nourriture (viennoiseries, petits fours, quelques rares repas) financées par l’industrie pharmaceutique.
Etant contre les brevets, qui sont des freins à l’innovation, je n’en détiens aucun.
C.f. Activité principale
Néant.
Néant.
Néant